Hulrick Tatcher est le fils de William Tatcher garde d'un petit village du nom de Trois ponts, petit bourg situé entre Nuln et les montagnes grises. Sa mère Sophia était cuisinière dans l'auberge du village. Il vécut la vie d'un enfant normal de cette région, hormis l'instruction que son père lui donna qui normalement était réservé au noble et aux gens riche. Il appris donc à lire, écrire et compté. Il passait sa journée simplement les corvées le matin, joué avec ses camarade l'après midi, étudier en soirée avant le repas puis il passait le reste de la soirée à l'auberge, où il dînait tous les soirs, à écouter les histoires des pèlerins et autres gens de passage en attendant la fin du service de sa mère.
Une fois qu'il sut lire, écrire et compté correctement, vers ses 10 ans, son père lui appris les valeurs qui différencient un homme d'un manant. Apprentissage que Hulrick trouvait trop pompeux et qu'il ne faisait pas sérieusement au grand désarroi de son père. Un soir où William tentait d'apprendre les valeurs d'un homme à son fils il remarqua que celui-ci ne quittait pas des yeux son épée qu'il avait posée à côté de la porte. Voyant que sont fils n'étudierait pas sérieusement sans une bonne motivation il décida de changer de méthode. Il allât chercher son épée et la dégaina devant son fils, voyant les yeux d'Hulrick briller d'intérêt devant la lame il passa un marché avec son fils, s'il étudiait sérieusement son père lui apprendrait à se battre à l'épée. Depuis ce jour Hulrick étudiât sérieusement et en récompense de son sérieux il appris à utiliser une épée.
A sa douzième année le temps des jeux était finis et son père s'arrangea avec le bûcheron du village pour travailler les après midi d'été et avec le forgeron durant l'hiver. Son travail lui apporta une musculature développée et ses premières pièces. Son éducation lui valu d'être apprécié de la plupart des gens du village. Et la famille Tatcher fut encore plus apprécier.
Hulrick voulant rendre service le plus possible s'arrangea avec l'aubergiste pour l'aider au service le soir. Quatre années de sa vie passèrent ainsi sans aucun fait marquant.
Durant sa seizième année le maire du village lui demanda d'entrer à son service. Hulrick appréciant ses travaux de forge et de bûcheronnage refusa dans un premier temps. Puis en discuta avec son père qui le persuada d'accepter, car cela pourrait lui permettre de sortir de ce petit village où il n'y avait pas d'avenir. C'est donc avec la bénédiction de son père qu'il entra au service du maire qui possédait un manoir a quelque kilomètre du village. Au débuts son travail ne changea pas de ce qu'il faisait avant, car il était chargé de remplir les réserve de bois du manoir et de s'occupé des menus travaux de forge qu'il pouvait y avoir. Puis au bout d'un certain temps, son travail étant toujours réalisé avec sérieux il prit du galon et devint le commis du maire. Il était chargé d'apporter des messages à des personnes importantes dans les villes voisines. Un jour où il avait apporté une missive à la frontière de la bretonnie, il fut invité à se joindre à une troupe de chevalier bretonien qui se rendait à Trois ponts. Durant les quelque jour de voyage, il peu admiré les chevalier et tous ses rêves d'enfance refirent surface. Il discuta avec les écuyers qui étaient fort bavard comparé au chevaliers qui étaient austère. Les écuyers furent étonnés qu'un simple fils de garde soit aussi instruit et Hulrick lui parla de son travail pour le maire. Les écuyers lui expliquèrent ce qu'était leur travail et il se rendit compte que ceux-ci étaient similaires.
Arrivé au village de trois ponts, les chevaliers demandèrent à voir le maire. Il étaient à la recherche d'un chevalier de la baronnie déchut de Moussillon nommé William Von L. Le maire leur dit que ce nom ne lui disait rien et qu'il n'avait pas vu de chevalier depuis longtemps.
Malheureusement l'armure du chevalier était exposé dans un couloir et l'un des chevaliers la reconnu et demanda des explications. Voyant qu'il n'avait pas d'autre choix que de parler il demanda l'autorisation de renvoyer son commis chez lui. Les bretoniens ne voyant pas l'intérêt qu'un simple homme de main entendent ce qu'ils avaient à dire acceptèrent. Le maire ordonna donc à Hulrick de rentrer chez lui. Celui ne comprenait pas l'attitude du maire qui ne lui avait jamais donné d'ordre et de plus il avait une chambre dans le manoir. Le maire se faisant insistant Hulrick rentra chez lui. Ses parents furent étonner de le voir rentré et Hulrick racontât ce qui c'était passé. A la mention du nom du chevalier sa mère sera la main de son père comme si elle venait d'apprendre la mort d'un proche et le visage de son père devint grave.
William demanda à Sophia de faire du café, car il devait parler avec Hulrick et cela devrait durer longtemps. Sophia partie dans la cuisine et William demanda à Hulrick de s'asseoir et d'attendre. Il revint avec un coffre que Hulrick n'avaient jamais vu, il ouvrit le cadenas et en sortie un paquet enroulé dans un tissu noir. Il déballa le paquet et déposa sur la table un bouclier, une cape et une épée ouvrager. Sur les trois objets on pouvait voir des armoiries représentant un lis noir sur fond jaune. Hulrick n'en croyait pas ses yeux et ce que son père lui révéla ensuite le rendit complètement sans voix.
Son père lui révéla que le chevalier que les bretoniens recherchaient c'était lui son véritable nom était William Von L et qu'il était autrefois un noble chevalier vassal de Maldred duc de Moussillon. Il lui expliquât que quand son duché fut déchu tous les chevaliers furent chassés et tué et qu'il devait être le dernier. Il lui expliqua également qu'il l'avait élevé comme un futur chevalier et que bientôt il devrait pendre la route pour faire sa quête.
Des bruits de chevaux interrompirent les révélations de William. Sachant que c'était les bretonien William sortie à l'encontre des chevaliers. Hulrick sortie à la suite de son père et il vit le chef des chevalier lancé un défi à son père. Celui-ci déclara :
"Moi William Von L chevalier de Moussillon et serviteur de la Bretonnie, au nom de la dame du lac je relève ton défi.
Hulrick vit les deux hommes dégainé leur arme puis la planté dans le sol, mettre un genou au sol et appuyée leur front sur la garde pour prier. Après quoi les deux hommes se levèrent, se saluèrent et entamèrent leurs duels. William ne possédant pas d'armure et manquant d'entraînement perdit le duel et se retrouva embrocher par le chevalier. Une fois le chevalier remonté en selle il se retourna et dit :
" Je suis Godefroy de Bordeleaux et je déclare devant mes vassaux que William Von L est mort durant notre duels."
Une fois les chevaliers partis William appela Hulrick pour qu'il l'aide à se lever et a rentré. Une fois rentrée ils s'assirent et Sophia commença a nettoyer la blessure les larmes aux yeux. William demanda à Hulrick de s'agenouiller face à lui, à son grand étonnement il ne s'exécuta pas.
"-Pourquoi veux tu que je m'agenouille ?
-Pour que je fasse de toi un chevalier que tu puisses venger notre honneur.
-Venger notre honneur ? Tu n'es pas mort et ta blessure n'est que bénigne.
- Et alors cela est encore plus déshonorant qu'il ne m'ait pas tué !
-Alors, tu aurais préféré mourir en laissant mère seul ! Est-ce cela être un chevalier.
- Je t'ai enseigné ce que représente l'honneur pour un chevalier ! C'est ta destiné et cela depuis ta naissance.
- Ma destiné ! Ma destiné je préfère l'écrire moi-même et personne ne m'obligera a devenir ce que je ne veux pas être.
- Je t'ai appris les valeurs de la chevalerie. Tu dois devenir chevalier et récupérer l'honneur de la famille.
- Je ne les ai apprise uniquement parce que en récompense tu m'apprenais a manié l'épée.
-Tu deviendras chevalier où je te tuerais de mes propres mains !
-Dans ce cas je préfère partir plutôt que tu ne commette un acte qui jettera la honte sur toi et mère."
Sur ces derniers mots Hulrick partit dans sa chambre préparée ses affaires pour partir. Il pris des affaires sans faire attention, une épée qu'il s'était forgée et des vivre. Quand il repassa dans la pièce principale son père n'était plus là ainsi que la cape, l'épée et le bouclier. Avant de sortir il entendit des sanglot venant de la chambre de ses parents, il s'apprêta a ouvrir la porte, mais se stoppa net en se rendant compte qu'il sera plus dur de dire adieu à sa mère en la voyant pleurer. Il se contenta de lui dire quelques mots à travers la porte :
"Maman, prend soin de toi et ne lui en veut pas. Je t'aime adieu."
Sa mère lui dit pour toute réponse : "Sauve toi en courant"
Hulrick ne comprenant pas sortie de la maison et commença à partir en direction de la ville.
Malheureusement son père lui barrait la route et il portait sa cape, son bouclier et son épée. Le voyant ainsi il mit machinalement sa main sur le pommeau de son épée. Son père voyant cela eu un léger sourire sadique.
"Puisque tu étudiais uniquement pour pouvoir apprendre l'épée voyons de quoi tu es capable.
-Désoler père mais je ne me bas pas contre des infirmes ou des blessés."
A ses mots William se jeta sur son fils comme si il n'était pas blessé. Mais ce n'était qu'une impression, car en parant le coup Hulrick se rendit compte qu'il n'y avait pas de force dans l'attaque de son père. Il y eu encore quelque passe d'arme et William trébucha. Dans le feu de l'action Hulrick désarma son père et pointas son épée sur sa gorge. A ce moment des garde alerter par les bruits arrivèrent et tentaire de maîtrisé les combattants. Malheureusement la position dans laquelle se tenait Hulrick était dangereuse et le garde qui tenta de le maîtriser le bousculât en avant, ce qui lui fit perdre l'équilibre et l'épée s'enfonça dans la gorge de William.
Paniquer Hulrick retira immédiatement l'épée de la gorge de son père ce qui eut pour effet d'élargir la plaie laissant couler a gros flot le sang de son père. Les gardes le regardèrent et lui hurlèrent de ne plus bouger. Sentant la situation délicate il préféra s'enfuir dans la direction opposée et il partis en courant.
